Hasard du calendrier, aujourd’hui est la journée mondiale de la santé mentale. Cela tombe bien car le thème que je vais aborder aujourd’hui concerne la santé mentale. Je ne pensais jamais écrire cet article un jour et pourtant je pense que cela est nécessaire.
C’est quelque chose qui me touche personnellement depuis très longtemps depuis mes 17 ans … j’avoue que je n’en suis pas très fière. J’ai même été honteuse parfois d’avoir ce trouble.
C’est étrange comme on peut avoir honte de tout ce qui a attrait à la santé mentale alors que personne n’aurait honte d’avoir la grippe … Certes on a fait du chemin, parler de santé mentale n’est plus autant tabou et les langues se délient et c’est une bonne chose mais cela ne signifie pas pour autant qu’on soient à l’aise d’en parler.
Je ne le suis toujours pas aujourd’hui clairement mais j’ai créé ce site pour aider des femmes alors cet article en aidera peut être une ou deux…
Alors je suis bien consciente que ce sujet touchera certainement peu de femmes mais si au moins une personne pouvait se sentir moins seule ça sera gagné alors je me lance (non sans mal)
Si j’écris cet article aujourd’hui c’est que j’ai recommencé à avoir ce trouble de façon intense récemment dû au stress. Ça s’est vraiment aggravé donc je me dis que de l’écrire sera peut être une sorte d’exutoire pour moi et m’aidera peut être à arrêter … J’espère juste que vous ne prendrez pas pour une « freak » après m’avoir lue …
Alors tout d’abord il convient de définir ce qu’est la trichotillomanie car sincèrement moi même je pensais que mon trouble ne rentrait pas dans cette catégorie mais en fait si car la définition est assez vaste …
Stress et alopécie : Comprendre le lien et trouver des solutions efficaces !
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